L'heure de l'Europe et de l'Internet a sonné depuis un certain nombre d'années. Pourtant des catégories entières de personnes ne s'en sont pas aperçu. Paradoxalement, ce sont les catégories les plus concernées.

  • Les grands groupes industriels ?

Ils n'ont pas attendu l'Europe . Depuis bien longtemps, leur cour de jeux est bien plus vaste. La puissance et l'envergure de certains groupes dépassent de loin celles de petits Etats.

Quant à l'Internet, c'est un moyen de communication que certains (les groupes pharmaceutiques par exemple) maîtrisent depuis plusieurs dizaines d'années.

  • Les P.M.E. ?

Elles ont bien été obligées, par nécessité vitale, de développer un petit marché en Europe vers tel ou tel pays voisin, souvent avec difficulté, parfois au prix de bien des désillusions.

Et pour l'Internet? Elles y sont entré à reculons, au moment où l'utilité de la chose est devenue une évidence. Combien d'entreprises encore réalisant pourtant des chiffres d'affaires de plus de 1 million d'euro n'ont pas même pris la précaution de réserver leur nom de domaine, ou si elle l'ont fait n'ont même pas un site présentable, se contentant d'une adresse à l'image déplorable du type This email address is being protected from spambots. You need JavaScript enabled to view it.". Ce n'est pas avec cela que l'on peut conquérir le monde.

  • Les micro-entreprises ? (moins de 10 personnes)

Alors là, rien ! Ou alors pas grand chose, bien qu'elles soient, dans beaucoup de pays européens, écrasées par des processus administratifs complexes et des charges prévues pour des entreprises d'une autre dimension, bien que ce soient elles qui gardent intact le potentiel de création d'emploi (en commençant par employer leurs fondateurs), elles ont très peu réagi.

Leur inconscient collectif leur souffle qu'elles ne sont pas concernées par l'Europe : trop loin, trop cher, trop complexe... Rien n'est fait d'ailleurs pour les détromper. Gagnez (peu), payez (beaucoup) ! Telle est la doctrine officielle dans bien des pays.

l'Internet? Les abonnés absents, avec les mêmes objections : trop loin, trop cher, trop complexe...Une adresse internet fournie gratuitement et ça suffit.

Une erreur historique :

Cette situation relève d'une erreur historique : l'emploi de demain est dans  les micro-entreprises d'aujourd'hui.

Les P.M.E. et les grands groupes industriels sont confrontés à la mondialisation. Ils se doivent d'être toujours plus rentables et donc d'augmenter leur productivité en réduisant leur masse salariale... Ou en allant exercer leurs talents ailleurs...

Notre Mission :

Nous apportons aux micro-entreprises des conseils pour s'y retrouver dans la complexité des législations EUROPEENNE et des solutions pour leur permettre de faire le bon choix en ce qui concerne leur implantation juridique. Les critères retenus sont :

1. L’image du pays d’implantation en fonction de l’activité,
2. le taux global d’imposition,
3. la simplicité administrative
4. la facilité de travail à distance offert dans la branche d'activité.

Il est maintenant possible d’avoir une entreprise dans un pays de l’Union qui travaille dans un autre pays de l’Union (ou dans le monde entier) alors que ses dirigeants sont résidents dans un troisième pays de la Communauté Européenne. Le Décret no 92-521 du 16 juin 1992 est très clair sur ce sujet.

Si notre conseil conduit un entrepreneur à installer tout ou une partie de son activité dans un pays dont il ne maîtrise ni la langue ni les habitudes administratives, la division Administration/Comptabilité/Gestion lui proposera ses services à un prix compétitif pour pouvoir suivre ses affaires de très près.

Enfin, nous voulons démystifier l'Internet pour lui rendre sa réalité : un outil simple et surpuissant ayant un coût ridicule. Consultez la rubrique "Internet" dans la section "Autres services" pour bénéficier de nos services.